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Société
Citations sur le thème Société
Les règles de la parenté et du mariage ne sont pas rendues nécessaires par l'état de société. Elles sont l'état de société lui-même.
Lorsqu'on sent le monde sur le point de chavirer, quelque chose dérègle : les hommes sombrent soit dans l'extrême dévotion soit dans l'extrême débauche.
La politique est un passage obligé pour changer une société.
Ceux qui appellent à la révolution devraient démontrer à l'avance que la société qu'ils vont établir sera plus libre, plus juste, et moins corrompue que celle qui existe déjà.
C'est tellement rare, c'est tellement improbable, c'est tellement miraculeux que c'est peut-être ça la civilisation et la culture. Rencontrer quelqu'un qui écoute.
Celui qui ne peut pas vivre en société, ou qui n'a besoin de rien parce qu'il se suffit à lui-même, ne fait point partie de l'Etat ; c'est une brute ou un dieu.
La nature a fait l'homme heureux et bon, mais […] la société le déprave et le rend misérable.
L'égoïsme, source du socialisme, la jalousie, source de la démocratie, ne feront jamais qu'une société faible, incapable de résister à de puissants voisins.
L'homme et la société se servent réciproquement de sujet et d'objet.
La plus haute perfection de la société se trouve dans l'union de l'ordre et de l'anarchie.
L'homme n'est homme que par la société, laquelle, de son côté, ne se soutient que par l'équilibre des forces qui la composent.
Il faut des haines à la société en vue des bouleversements dont elle progresse, comme la terre a besoin d'être labourée pour être fertile.
Nous n'aurons jamais trop de ces fiers esprits qui jugent, critiquent et résistent. Ils sont le sel de la cité.
Un grand peuple sans âme est une vaste foule !
Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d'esprit en est le père.
L'intellectuel est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel, jusqu'à ce qu'il nous ait prouvé le contraire.
Hélas! on voit que de tout temps Les petits ont pâti des sottises des grands.
Il n'y a de société vivante que celle qui est animée par l'inégalité et l'injustice.
L'homme est incapable de vivre seul, et il est incapable aussi de vivre en société.
Ce n'es pas tuer l'innocent comme innocent qui perd la société, c'est de le tuer comme coupable.
La poésie est le miroir brouillé de notre société. Et chaque poète souffle sur ce miroir: son haleine différemment l'embue.
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre; par la résistance il assure la liberté.
L'amour, tel qu'il existe dans la société, n'est qu'échange de deux fantaisies et le contact de deux épidermes.
La décadence d'une société commence quand l'homme se demande : "Que va-t-il arriver ?" au lieu de se demander : "Que puis-je faire ?".
La démocratie, c'est l'oppression du peuple par le peuple.
Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Je vis partout le développement de son grand principe que la nature a fait de l'homme heureux et bon, mais que la société le déprave et le rend misérable.
Ce ne serait pas la peine que la nature fasse de chaque individu un être différent pour que la société réduise l'humanité à n'être qu'un amas de semblables.
Ai-je fait acte utile à la communauté ? Je me suis donc rendu service.
Chaque être humain est unique, il a ses propres qualités, ses instincts, ses formes de plaisir. Cependant la société impose une manière d'agir collective, et les gens ne cessent de se demander pourquoi ils doivent se comporter ainsi.
La société est composée de deux grandes classes : ceux qui ont plus de dîners que d'appétit, et ceux qui ont plus d'appétit que de dîners.
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