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Politique
Citations sur le thème Politique
C'est la cendre des morts qui créa la patrie.
Un grand peuple sans âme est une vaste foule !
J'ai vu des démocraties intervenir contre à peu près tout, sauf contre les fascismes.
Presque toutes les monarchies n'ont été fondées que sur l'ignorance des arts et n'ont été détruites que parce qu'on les a trop cultivés.
La France est une nation qui s'ennuie.
Tout l'art de la politique est de se servir des conjonctures.
Tout homme qui écrit - et qui écrit bien, sert la France.
Quelle est la première partie de la politique? L'éducation. La seconde ? L'éducation. Et la troisième ? L'éducation.
On ne fait pas de politique avec de la morale, mais on n'en fait pas davantage sans.
Être roi est idiot ; ce qui compte c'est de faire un royaume.
Les empires ne se conservent que comme ils s'acquièrent, c'est-à-dire par la vigueur, par la vigilance et par le travail.
La fonction de roi consiste principalement à laisser agir le bon sens, qui agit toujours naturellement et sans peine.
Aussitôt qu'un roi se relâche sur ce qu'il a commandé, l'autorité périt, et le repos avec elle.
Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.
On gouverne les hommes avec la tête. On ne joue pas aux échecs avec un bon cœur.
L'empire est quelque chose, et l'Empereur n'est rien.
Je ne veux point de rois qui sachent obéir.
Toujours le chef est seul en face du mauvais destin.
Quand je cesserai de m'indigner, j'aurai commencé ma vieillesse.
Ne songer qu'à soi et au présent, source d'erreur dans la politique.
Mais le trône soutient la majesté des rois Au-dessus des mépris, comme au-dessus des lois.
Le meilleur [des gouvernements] pour moi, c'est celui qui agonie, parce qu'il va faire place à un autre.
Le gouvernement […] n'a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner.
Le désir du privilège et le goût de l'égalité,passions dominantes et contradictoires de Français de toute époque […]
Toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.
Il y a bien autant de paresse que de faiblesse à se laisser gouverner.
La France a perdu une bataille, mais la France n'a pas perdu la guerre.
Un peuple n'a une vie réelle grande que s'il a une vie irréelle puissante.
Presque toujours, en politique, le résultat est contraire à la prévision.
Plus vous prétendez comprimer [la presse], plus l'explosion sera violente. Il faut donc vous résoudre à vivre avec elle.
Mourir pour le pays est un si digne sort Qu'on briguerait en foule une si belle mort.
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