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Famille

Citations sur le thème Famille

Cette fois, je ne pus rien ignorer de la douleur qui ravageait ma famille, elle saturait l'air comme de la poudre d'explosif.

Cette fois, je ne pus rien ignorer de la douleur qui ravageait ma famille, elle saturait l'air comme de la poudre d'explosif.

Que pouvez-vous faire pour promouvoir la paix dans le monde? Rentrer chez vous et aimer votre famille!

Que pouvez-vous faire pour promouvoir la paix dans le monde? Rentrer chez vous et aimer votre famille!

Je ne me sens nulle part aussi étranger que dans ma famille et dans mon pays.

Je ne me sens nulle part aussi étranger que dans ma famille et dans mon pays.

Nul n'ignore que les familles sont des nids à douleur et que, pour se faire mutuellement et cruellement souffrir, personne n'a le génie d'une mère et d'une fille.

Nul n'ignore que les familles sont des nids à douleur et que, pour se faire mutuellement et cruellement souffrir, personne n'a le génie d'une mère et d'une fille.

Où peut-on être mieux qu'au sein d'une famille ? Partout ailleurs !

Où peut-on être mieux qu'au sein d'une famille ? Partout ailleurs !

Toutes les familles heureuses se ressemblent ; les familles malheureuses le sont chacune à leur façon.

Toutes les familles heureuses se ressemblent ; les familles malheureuses le sont chacune à leur façon.

Tous les mardis, je donne à dîner à quinze petits enfants pauvres, choisis parmi les plus indigents de l'île, et ma famille et moi, nous les servons ; je tâche, par là, de faire comprendre l'égalité et la fraternité.

Tous les mardis, je donne à dîner à quinze petits enfants pauvres, choisis parmi les plus indigents de l'île, et ma famille et moi, nous les servons ; je tâche, par là, de faire comprendre l'égalité et la fraternité.

Familles ! Je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées, possessions jalouses du bonheur.

Familles ! Je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées, possessions jalouses du bonheur.

Quiconque tombe sur un bon gendre trouve un fils ; quiconque tombe sur un mauvais gendre perd en plus sa propre fille.

Quiconque tombe sur un bon gendre trouve un fils ; quiconque tombe sur un mauvais gendre perd en plus sa propre fille.

Si l'on estimait sa famille on voudrait lui plaire, et, si l'on voulait lui plaire, on serait fichu.

Si l'on estimait sa famille on voudrait lui plaire, et, si l'on voulait lui plaire, on serait fichu.