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Franchir la porte, c'est tout un monde, mais, en fait, il suffit de faire un pas.
Je ne veux plus vous voir, plus vous entendre! Et il y a quelque chose d'encore plus fort que ma haine et que mon dégoût. C'est que je meurs d'ennui, madame, à côté de vous.
Les choses ne sont pas se qu'elles sont, elles sont ce qu'on les fait.
Pourquoi contredire une femme? Il est tellement plus simple d'attendre qu'elle change d'avis!
On ne s'aime jamais comme dans les histoires; tout nu et pour toujours. S'aimer, c'est lutter constamment contre des milliers de forces qui viennent de nous ou des autres.
Ne parle plus. Ne pense plus. Laisse ta main se promener sur moi. Laisse-la être heureuse toute seule. Tout redeviendrait si simple si tu laissais ta main seule m'aimer. Sans plus rien dire...
Ce qui est beau, c'est qu'on aime.
Dans le drame, on se débat parce qu'on espère en sortir.
Parolier! Parfaitement. Le fabricant de paroles. Tout se fabrique ici-bas. Et il faut bien qu'il y ait quelqu'un qui s'en charge, des paroles.
Un beau petit ménage de théâtre. Ca se dispute, mais ça s'adore!
Il ne faut pas croire exagérément au bonheur.
Il me semble qu'un chagrin d'amour est une chose si belle, si précieuse, qu'on n'a pas le droit de la gaspiller comme cela.
On est fidèle à soi-même et c'est tout. On danse le pas de l'amour obstinément devant sa glace.
Oui, je t'oublierai. Oui, je vivrai, et malgré la trace sanglante de ton passage à coté de moi, je referai demain, avec patience, mon pauvre échafaudage d'homme sous l'oeil indifférent des dieux.
L'homme est un animal inconsolable et gai. Je t'expliquerai ça aussi un jour. L'essentiel est de pouvoir se regarder en face, le matin, en se rasant.
C'est curieux le nombre de conjugaisons qu'on passe son temps à faire, dans la langue française. Je t'aime, tu m'aimes, nous nous aimons.
Ah ! vos têtes, vos pauvres têtes de candidats au bonheur ! C'est vous qui êtes laids, même les plus beaux.
L'odeur de l'être qu'on aime se sent sous tous les parfums et je sais, moi, qu'Oreste n'a pas pu oublier celle de sa mère... Il n'est pas de fils qui l'oublient et qui, vieux, n'en rêvent encore, dans leurs peines...
Vous savez bien que l'amour, c'est avant tout le don de soi ! C'est vrai. Tant que l'être aimé est cette projection idéale de moi-même, tant qu'il est mon bien, ma chose, tant qu'il est moi.
La vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison.
Comprendre ! toujours comprendre. Moi je ne veux pas comprendre je comprendrai quand je serai vieille. Si je deviens vieille !
Le jardin dormait encore. Je l'ai surpris, nourrice. Je l'ai vu sans qu'il s'en doute. C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes.
Mais, voyez-vous, pour un homme sans mémoire, un passé tout entier, c'est trop lourd à endosser en une seule fois.
Moi, j'aime bien qu'il me coûte cher, mon plaisir ça me permet de me figurer que j'en ai vraiment envie.
Cela devrait être plus simple, bon Dieu, la vie ! Pourquoi toujours jouer au drame, alors que, tout bien pesé, l'amour, la politique, les hommes, tout est plutôt ridicule ou rigolo ?
Je ne veux pas le savoir. Tout le monde a des excuses, tout le monde a quelque chose à objecter. S'il fallait écouter les gens, s'il fallait essayer de comprendre, on serait propres.
La nature aussi décime, déblaie, nettoie, massacre ! La nature, chaque jour, fait naître et extermine des millions d'êtres ! Un jour du monde n'est qu'une vaste naissance et un vaste égorgement pour l'accomplissement de son dessein.
Après tout nous sommes au théâtre. Il est dit que cette Révolution se ferait par la parole. Il faut donc apprendre le métier de tragédien.
Moi je veux tout, tout de suite – et que ce soit entier – ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d’un petit morceau si j’ai été bien sage.
Le pouvoir est comme la tête de Méduse : celui qui en a vu la figure ne peut plus en détourner son regard, reste fasciné et charmé. Celui qui, une fois, a goûté à l'ivresse de la domination et du commandement ne peut plus s'en passer.
Mais la raison et la politique suivent rarement le même chemin et ce sont peut-être ces occasions manquées qui donnent à l'histoire son caractère dramatique.
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